Des sources proches du dossier ont confié à Kotaku qu’environ 45 personnes ont été licenciées entre le 9 et le 11 janvier, bien que les premiers licenciements aient débuté en décembre. Les personnes affectées faisaient partie du studio de Montréal.

Selon le rapport, ces coupes ont touché plusieurs départements de Behaviour Interactive. La page LinkedIn de Behaviour Interactive indique actuellement que l’entreprise compte 1300 employés dans le monde.

Le 17 janvier, le studio Wimo Games a également fermé ses portes. Se concentrant principalement sur les titres en réalité virtuelle tels que Battle Bows, le développeur de logiciels associé, Walter Hill, a déclaré à Kotaku que 35 personnes étaient employées chez Wimo Games au moment de sa fermeture.

Des licenciements ont déjà touché plusieurs entreprises cette année, notamment la société suédoise de jeux vidéo Thunderful Group, qui a annoncé hier ses plans de mettre en œuvre un programme de restructuration. Cela comprendra des réductions de personnel d’environ 20 pour cent.

Plus tôt dans la semaine, une partie importante du studio Lost Boys Interactive, détenu par Gearbox, a également été licenciée.

Récemment, des changements dans les conditions du marché ont nécessité d’ajuster la portée de plusieurs projets chez Behaviour. Dans ces situations, notre préférence est toujours de réaffecter les talents à d’autres projets. Malheureusement, cette option ne nous est pas toujours accessible. Ces départs représentaient moins de trois pour cent de notre effectif total.

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